Normalement, les touristes se rendent à l’étranger pour visiter des sites célèbres, la culture ou faire des choses amusantes. Mais il existe un groupe de touristes qui se déplacent pour se livrer à des activités sexuelles, notamment avec des prostituées. C’est ce qu’on appelle le « tourisme sexuel ». Vous pouvez parfois voir des vidéos de ce phénomène sur les sites porno italiani.

L’Organisation mondiale du tourisme, une agence spécialisée des Nations unies, définit le tourisme sexuel comme « des voyages organisés à l’intérieur du secteur du tourisme, ou à l’extérieur de ce secteur mais en utilisant ses structures et ses réseaux, dans le but principal d’effectuer une relation sexuelle commerciale par le touriste avec les résidents de la destination ».

Les problèmes du tourisme sexuel

Afin de mieux contextualiser ce phénomène, il convient de souligner que parmi les causes qui motivent habituellement le tourisme sexuel dans un autre pays ou dans une région en général, les suivantes peuvent être prises en considération :

  • Une plus grande tolérance de la part de la société ou, à défaut, de la part des autorités.
  • Dans certains cas, l’âge du consentement est inférieur ou, en l’absence d’un tel consentement, l’accès aux mineurs.
  • L’impunité est plus grande pour le crime dans les cas où la prostitution est interdite.
  • Les prix sont plus bas, car le client voyage d’un pays riche vers un pays pauvre.
  • Sur le marché du travail, ils recherchent des clients qui se distinguent par le fait d’avoir une source de revenu considérable, même après leur retour dans leur pays d’origine ou comme moyen de se marier.
  • Il y a un plus grand sentiment d’intimité.
  • Le client peut trouver certains types de groupes ethniques plus attrayants ou excitants.
  • Le client préfère également l’éthique de travail de certaines prostituées étrangères à celle de son pays.

Comment éradiquer ce fléau social?

Dans cette optique, il convient de noter que, dans la plupart des cas, le tourisme sexuel implique des pays pauvres avec des relations où les pays plus riches peuvent subordonner leur statut. Selon des recherches et des rapports statistiques, les organisations de défense des droits de l’homme mettent en garde contre le fait que le tourisme sexuel encourage souvent la traite des personnes et la prostitution des enfants. En ce sens, l’ONU est très fortement et directement opposée au tourisme sexuel, le citant comme source d’innombrables problèmes de santé, sociaux et culturels.

En plus de ce qui précède, ces inconvénients doivent être considérés comme influençant les deux pays concernés, de sorte que l’origine et la destination font partie du problème lui-même. En conclusion, les situations d’exploitation de l’âge, du sexe, de la condition sociale et économique peuvent être augmentées avec ce type de routes touristiques qui se consolident.